Les news du 18 juin: C'est la fin de l'aventure.....

Nous voilà depuis 10 jours de retour et, chose amusante, 10 jours sans connexion car en attente de la réouverture de notre ligne téléphonique....

Il faut s'y faire, l'aventure est bien terminée et nous reprenons nos marques. Premier jour de rentrée pour les filles qui redécouvrent leur école ou au contraire, inaugure leur première rentrée pour Lara!

Premières festivités aussi, famille et amis sont bien présents et nous entourent.

Et aussi prochains départs pour certains comme la famille Stoll, qui s'apprète à partir dans 15 jours pour ce même type d'aventure. Derniers conseils mais dont le principal pourrait être "Foncez, cela en vaut tellement le coup".
La roue tourne....

Alors encore un grand merci à tous ceux qui nous ont aidés, encouragés et soutenus dans cette merveilleuse aventure.

Que ceux qui nous ont suivis et sont originaires de notre Ardèche, se rassurent, nous organiserons à la rentrée une conférence sur ce beau périple avec un montage à l'appui.




jeudi 14 janvier 2010

Le diner sur la place centrale


Il était 5 heures de l'après midi lorsque nous sommes arrivés à Aipe. Ce n'était pas vraiment choisi comme destination.
Nous voulions aller jusqu'au desert de Tatacoa mais le raccourci qui y menait était infranchissable en voiture; le niveau de la rivière étant trop haut. Le grand détour nous rajoutait encore 3 heures de route, c'est à dire, rouler de nuit. Pas dans nos souhaits!

Alors on s'est garés avec nos voisins sur la grande place centrale. Imaginez une grande église entourée d'arbres, de petites boutiques et d'étalages de tout type.

On s'y est sentis tout de suite bien à Aipe.

Alors on a décidé de se faire à manger et de sortir nos tables et chaises et de se faire un "camping sauvage urbain" comme on sait bien les faire (que ceux qui ont connu celui d'Arles se lèvent!).

Et la fête a commencé. Ils étaitent bien dix à discuter avec nous , par curiosité et gentillesse. Dès que nous avons sorti nos saladiers, ils sont devenus vingt, cinquante voire cent entour de nous.

Pas d'agressivité: de la surprise, de la curiosité et des questions. Des dizaines de questions! Et c'est là que le logo du voyage sur les façades du CC nous aide (merci Martin).

On s'est ensuite fait inviter à une sorte de discotèque en plein air  (toujours sur la place centrale ) et les filles ont pu danser à coeur joie, la dernière n'étant pas le plus calme. Salsa, rumba et autres musiques locales au programme.

A 11heures on est parti se coucher.
Nous avions seulement oublié que les Colombiens dansent bien tard, que leur baffles sont bien puissantes et ce n'est pas avant 2 heures du matin que l'on s'est endormis.

2 commentaires:

  1. Alors on a connu le camping sauvage urbain d'Arles, et on se lève... Car franchement, on vous envie. Eh oui, c'est vrai que c'est pour ce genre de moment que Nicolas a failli craquer, acheter un camping car et nous embarquer tous avec vous...
    Mais bon, voilà, on se contente de votre blog. Et je suis ravie de voir que Lara a déjà le sens de la fête ;-))
    On vous embrasse très fort et on attend vos nouvelles et les photos...

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  2. fabuleux !! je n'imaginais pas un telle chose possible ! vous êtes les rois du contact avec les populations ! ça met des étoiles dans les yeux et ça va certainement vous laissez des souvenirs magnifiques !

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Qui sommes-nous ?

La famille CORBASSON, domiciliée à Bourg Saint Andéol en Ardèche. Emmanuel, dit papa Manu. La quarantaine, déjà un tour du monde sac au dos, souhaitait faire une parenthèse familliale dans un job prenant et réaliser un rêve de longue date. Laure, la maman. La quarantaine aussi, voulait vivre une aventure mélant horizons nouveaux, famille, culture et ouverture en direction de l'Amérique du sud, ayant déjà vécu 3 ans en Asie. Margot, 9 ans, en CM1, elle a dit au revoir à ses copines le coeur serré, potassant deux mois avant le grand départ le dictionnaire d'espagnol pour se mettre au niveau (L'anglais avait déjà démarré bien avant!) Valentine, 5 ans, l'espiègle de l'équipe, elle vit déjà l'aventure avec ses poupées, leur racontant son voyage avant l'heure. Lara, 2 ans, la petite dernière, qui n'a pas sa langue dans sa poche, saura sans aucune crainte se faire comprendre de ses interlocuteurs. L'avenir nous le dira.....

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