Les news du 18 juin: C'est la fin de l'aventure.....
Nous voilà depuis 10 jours de retour et, chose amusante, 10 jours sans connexion car en attente de la réouverture de notre ligne téléphonique....
Il faut s'y faire, l'aventure est bien terminée et nous reprenons nos marques. Premier jour de rentrée pour les filles qui redécouvrent leur école ou au contraire, inaugure leur première rentrée pour Lara!
Premières festivités aussi, famille et amis sont bien présents et nous entourent.
Et aussi prochains départs pour certains comme la famille Stoll, qui s'apprète à partir dans 15 jours pour ce même type d'aventure. Derniers conseils mais dont le principal pourrait être "Foncez, cela en vaut tellement le coup".
La roue tourne....
Alors encore un grand merci à tous ceux qui nous ont aidés, encouragés et soutenus dans cette merveilleuse aventure.
Que ceux qui nous ont suivis et sont originaires de notre Ardèche, se rassurent, nous organiserons à la rentrée une conférence sur ce beau périple avec un montage à l'appui.
Après avoir longé la côte pacifique, nous rentrons dans les terres pour rejoindre la ville d'Arequipa, deuxième ville du Pérou. Bâtie au pied d'un volcan actif El Misti, la ville a connu des éruptions tragiques et des tremblements de terre meurtriers. Les conquistadors ont eu aussi laissé leurs empreintes dans la cité blanche.
Nous abordons la ville par la visite du Monasterio Santa Catalina couvrant une superficie de 20 000 m2.

Construit en 1580 par une veuve fortunée Maria de Guzman, il accueillait les jeunes filles de l'artistocratie moyennant une dot de 6 kg d'or. En contre partie, chacune disposait d'une à quatre servantes ou esclaves et d'une maison particulière. Conservant leur train de vie, elles pouvaient inviter des musiciens ou organiser des réceptions.
Il fallut attendre 1871 pour qu'une soeur dominicaine austère Josefa Cadena, envoyée par le pape Pie IX, mette de l'ordre dans les affaires du monastère.
A compter de cette époque, plus personne ne s'aventura hors des murs d'enceinte, enveloppant le lieu de mystère.
Ce n'est qu'en 1970 que le maire d'Arequipa l'obligea à se moderniser.
Aujourd'hui, une trentaine de religieuses y vivent recluses dans une petite partie des batiments tandis que le reste de l'ensemble est ouvert au public.
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